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Boris Crack - Page 4

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    L'Armée Noire vous redonne des couleurs noires à Marseille, du 16 au 18/12! avec Charles Pennequin, Marius Loris, Marin Fouk, Stéphane Nowak Papantoniou, Camille Escudero, Violier Désarmais, Didikeulalie Didika Koeurspursss, Chloé Mathiez, Jérôme Bertin, Boris-Crack Aka-djseul, Emmanuel Bueno, etc... le 16 décembre à Manifesten, le 17 au quartier de la Rose et le 18 à l'Embobineuse. Et tous les jours à la Friche de la Belle de mai pour Vendettatatatatatatatatata! Pépouze. (merci à Annabel Caruana alias Chimpanzé pour l'idée de départ et le dessin de l'avis de recherche)

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  • c'est l'eurovision tous les jours

    tous les jours c'est l'eurovision, alors je chante dans un pied de micro, j'ai même pas besoin de micro, je chante dans le pied directement, je suis au milieu de la ville, au milieu d'une place au milieu de la ville, et je chante dans un pied de micro, sans micro, je chante dans le pied directement, j'en ai rien à foutre, ça sent le pied quoi, je prends mon pied, au milieu de la ville, au milieu de la place au milieu de la ville, je chante comme une merde et c'est bien fait pour vous, vous finirez par m'aimer, vous finirez par aimer ça, j'vous le dis, j'suis nostradamus, j'suis donald trump, vous allez l'aimer mon talent, vous allez l'aimer mon chant, mon concert de noël sur la place au milieu de la ville, au milieu du marché de noël, qui est juste dégueu, vraiment dégueu de chez dégueu, parce que c'est dégueu de chez dégueu de foutre de l'argent, de foutre notre argent dans des trucs aussi dégueus, dans des cabanes dégueus, dans des sapins dégueus, dans des musiques dégueus, du coup moi j'ai décidé d'être bien plus dégueu encore, moi j'suis superdégueu, j'suis very bad, very very bad, very bad bad, very bad dégueu, very bad singer, moi j'suis Badsinger, celui qui détruit tout sur son passage, celui qui détruit tout l'marché de noël, celui qui détruit tout ce qui est dégueu en étant plus dégueu, moi j'me plante là au milieu de la ville, au milieu de la place au milieu de la foule au milieu de la ville, et je fais mon dégueu, je chante dans mon pied de micro, je chante dans mon pied de micro sans micro, je chante sans micro, je chante dans mon pied directement, et ça va chier, j'peux vous l'dire moi ça va chier, ça c'est du jingle bells de ouf ça mon pote, ça c'est un truc de ouf, c'est un truc de la jungle, c'est du jungle bells mon pote, du jaja bells ça que c'est mon pote, ça te baise les bells, ça te rend tout cloche, ça rend tout aboslument cloche, moi je fais ma cloche, je le rend bien cloche ce noël, je le dégueule moi, directement, j'ai même pas besoin de micro, je suis bien bien dégueu moi, pour surpasser tout le dégueu de noël, tout le dégueu de la politique de noël, tout le dégueu du marché de noël qu'est la politique, toute la politique de noël, toute la politique qui joue au père-noël, toute la politique dont le principe est d'être coincée dans une cheminée avec des cadeaux, toute la politique dont le principe est d'être coincée dans une cheminée avec les cadeaux qu'on a déjà payés, que nos parents ont payés, que nos grand-parents, que nos arrières-grands-parents, que ceux qui sont morts dans des circonstances bien dégueues ont déjà payés, que ceux qu'on a crevés ont payés de leur vie, tous ces cadeaux là entassés dans la cheminée, tous ces cadeaux faits d'avance par ceux qu'on a crevé, ceux qui se sont crevés, qui se sont battus dans la merde, ceux à qui on a pas fait de cadeau justement, et qui feraient bien la gueule en voyant tout ce dégueuli, qui feraient bien la gueule en voyant comment on est devenus dégueus, comment on est devenus complètement dégueus, et comment on est obligés de devenir encore plus dégueus, superdégueus, pour survivre à la politique, ils comprendraient pas comment on a pu former un tas de dégueuli pareil, un tas de folie pareil, un iceberg de la folie, un iceberg de la taille de fort boyard, ils comprendraient pas, felindra tête de tigre, ils comprendraient pas que la tête de fillon ou de trump apparaissent tout d'un coup après que felindra elle a tourné la tête du tigre, d'habitude c'est les boyards, normalement ça tombe en pluie de boyards, et là c'est le dégueu qui tombe, là c'est le dégueuli, c'est le populisme dégueu qui nous tombe dessus, en mode giboulées de printemps, sauf qu'on est en hiver et que le père-noël est pas encore passé, sauf que le père-noël y va pas passer cette année, parce que cette année c'est les connards qui passent, cette année dans la cheminée c'est les connards qui s'engouffrent, y sont dans la cheminée, y sont dans mes ptits souliers, y sont dans le calendrier, alors je vais chanter au marché, je vais chanter au marché de noël, alors je chante dans un pied, je chante dans un pied de micro, j'ai même pas besoin de micro, je chante dans mon pied directement, je suis au milieu de la ville, au milieu de la place au milieu de la ville, et je chante dans mon pied de micro, sans micro, je chante dans mon pied directement, j'en ai rien à foutre, aujourd'hui c'est la folie, aujourd'hui tous les oufs d'avignon sont de sortie et ils ont raison, ils ont raison puisque tout est ouf aujourd'hui, et moi je les suis, tout est ouf et on se marre, on se tape des barres et pis des barres, on est complètement ouf, on est ouf complet, on est au complet, on prend tous les fous avec nous, tellement ça n'a ni queue ni tête, cette ville, ce pays, cette planète, cette civilisation, on forme un choeur, on est les enfoirés, on est des enfoirés de ouf, on chante pour rien, juste pour chanter, on chante dans un pied de micro, sans micro, on chante pour la folie, la ville c'est un iceberg de la taille de fort boyard et on se marre dedans, on se balance sur le glaçon, au milieu des touristes et du téléthon, au milieu de la misère, de l'absurdité, du marché de noël, des livreurs de sapins déguisés en serpillères, on est une armée de oufs, et on a pas besoin de micro, on se balance au-dessus du glaçon, on est perchés dessus, on est perchés, on regarde tout en haut, qui c'est qu'est là-haut, où y sont tous passés, où y sont passés nos amigos, on est une armée de oufs et on regarde le ciel, on attend, on attend les amigos, quand ils viendront sur terre, quand ils viendront les amigos ils viendront nous voir, ils viendront nous voir nous les oufs, ils viendront voir les oufs pas les blaireaux, alors on les attend, on les attend les amigos, pour l'instant on les attend et on écoute jean-michel jarre, car même si on est des oufs, on a besoin d'oxygène, on peut se passer de micro, on a pas besoin de micro mais on a besoin d'oxygène, alors quand on chante pas on s'écoute un jean-miche, quand on arrête de chanter, quand on s'arrête de chanter et qu'on regarde le ciel, quand on s'arrête un instant de chanter et qu'on lève la tête vers le ciel, vers ce ciel de ouf, vers ce ciel qui abrite des trucs de oufs, quand tous les oufs de la terre s'arrêtent un instant de chanter dans leur pied de micro sans micro, et lèvent la tête vers ce ciel de ouf dans l'espoir de voir apparaître le bout du nez d'un amigo, quand tous les oufs lèvent leur bouts vers le ciel, ils entendent du jean-michel jarre, ils écoute du jean-miche, ils en ont besoin, car même s'ils sont super oufs, même s'ils sont super oufs et qu'ils peuvent se passer de tout et surtout de micro, même s'ils sont super oufs ils ne peuvent pas se passer d'oxygène, ils en ont besoin, encore et encore, alors partout ça fait des arpèges dans le ciel, quand les oufs lèvent la tête, ça joue de l'oxygène, partout y'a ce truc de ouf qui sonne, c'est du jean-michel jarre, on est sur attente, on est des oufs et on est sur attente alors on a mis du jean-michel jarre, en attendant, en attendant, en attendant qu'ils viennent les amigos, en attendant qu'ils viennent nous voir, car quand ils viendront c'est sûr, quand ils viendront les amigos, quand ils viendront c'est nous les oufs qu'ils viendront voir, quand ils viendront c'est nous les oufs qu'ils viendront voir pas les blaireaux